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Ancy le Franc, chef lieu du canton , incontournable bourgade icaunaise à mi-chemin entre Tonnerre et Montbard, de réputation - de par son Palais Renaissance, unique réalisation en France et étonnant chef-d'oeuvre de l'italien Sebastiano Serlio, architecte du roi François 1er - sa faïencerie ancienne ...Ancy le Franc, c'est la campagne où il fait bon vivre, où il fait bon respirer ... glaner, se détendre...au bord de l'Armançon ou du canal de Bourgogne.
Le service Médical du Canton dispose de 4 médecins (dont 3 Diplômés d'Etat), 1 dentiste DE, 1 pharmacien DE (1 pharmacie regroupée sur le territoire du canton), 4 infirmières DE, 2 kinésithérapeute, 1 ostéopathe DO, 1 podologue; le service se complète avec les prestations de l'UNA, de la Coordination Gérontologique du Tonnerrois, du SSIAD, de l'HAD du Centre hospitalier de Tonnerre, du SMUR, du SDIS...
Le Canton est doté de deux EHPAD dont 140 lits à Ancy le Franc et 72 lits à Ravières, avec gériatres et médecins coordonnateurs.
Usagers du Cabinet Médical d'Ancy le Franc, ce site vous est destiné.
Vous pouvez venir à loisir, y puiser conseils, aides, informations... qui peuvent vous être utiles pour construire ou reconstruire votre santé.
Médecin pompier : "Je n'ai pas deux journées pareilles"
"Je suis médecin-pompier professionnelle depuis deux ans. Dans mon département, je suis la seule. Les autres médecins sont volontaires. Nos journées correspondent à nos missions au service de santé. Je n'ai pas deux journées pareilles.Toutes mes missions sont départementales. On a un bureau fixe, mais ma secrétaire s'arrache les cheveux pour savoir où je suis. Si certains ont la vision du médecin-pompier assis au bureau, c'est faux. On est plutôt mobile et polyvalent. Je fais 6 000 kilomètres par an. C'est ce qui fait tout l'intérêt du métier. Il y a à la fois du travail d'urgentiste, de l'activité médecine du travail, de l'activité de soutien sanitaire où l'on voit les pompiers en intervention, et tout le volet formation et matériel à choisir.
"Une sorte de médecine du travail adaptée au métier de sapeur-pompier"
Mes journées commencent le matin vers 8 heures. L'une de mes premières missions, plusieurs fois par semaine, ce sont des visites médicales d'aptitude pour les sapeurs-pompiers. Nous sommes chargés de définir si l'état de santé des pompiers leur permet d'assurer leurs missions opérationnelles ou non. C'est à nous de dire s'il peut aller au feu, s'il peut faire du secours à personnes, du secours routier… C'est une sorte de médecine du travail adaptée au métier de sapeur-pompier, avec tous les risques inhérents à cette profession particulière. Je peux en faire deux ou trois par jour, ou bien faire ça toute la journée si je vais dans un centre de secours à l'autre bout du département.
C'est vraiment notre première mission. Mais si je suis en train de faire des visites médicales, et qu'il y a un gros accident de la route pas loin, il faut interrompre les visites et aller sur l'accident. On intervient en complément des SAMU. Soit parce qu'il y a une carence de SAMU, soit parce qu'on va être le médecin de premier recours avant que le SAMU n'arrive, ou pour donner un avis pour savoir s'il faut engager plus de moyens.
On sort sur tout, du secours à personnes, du secours routier… C'est varié. Ça peut être le jour, la nuit, le week-end. Il n'y a plus du tout d'horaire. Je suis mobilisable à toute heure du jour et de la nuit. C'est bien sûr très aléatoire. Vous allez avoir trois sorties de nuit la même semaine, et plus du tout pendant 15 jours. En moyenne, à l'année, je fais 80 à 90 interventions en tout. Ça fait deux par semaine, en gros.
Incendie de maison
On fait aussi du soutien sanitaire opérationnel. On va s'occuper sur place des sapeurs-pompiers engagés sur une grosse opération. Ce sont généralement des incendies. On est chargés d'évaluer les risques potentiels sur la santé : des émanations de gaz chimiques, de fumées toxiques… On doit informer notre hiérarchie que tel pompier a une hypertension, qu'il faut le retirer de l'intervention, qu'il faut qu'il aille se reposer, qu'il faut envisager une relève… On sert à tout ça, et on surveille l'effectif pendant toute la durée de l'intervention.
La semaine dernière, on a eu un incendie de maison. C'était un gros feu, avec une quarantaine de sapeurs-pompiers engagés. Nous on les surveille, on regarde leur pouls, leur tension, leur état de fatigue, leur déshydratation… On fait des mesures de monoxyde de carbone. On les réhydrate, on assure la logistique repas si besoin. Les pompiers interviennent sous des respirateurs. Ils ont une bouteille d'oxygène dans le dos qui leur évite d'être intoxiqués. Mais au bout de 20 minutes, ils sont obligés de revenir pour changer les bouteilles. Ça nous permet de les voir régulièrement.
La dernière opération a duré 12 heures...
La dernière facette, c'est tout le travail avec la préfecture. Par exemple, pour le Tour de France, il faut organiser les secours médicaux. On a eu des réunions en préfecture, où on se met d'accord sur un plan, des réunions avec l'ARS, des formations suite aux attentats… C'est un travail plus administratif et stratégique de choix de politique de secours dans un département. Ce n'est pas quelque chose d'habituel en médecine. Au début, l'ARS on n'est pas nécessairement fan, mais on voit que c'est nécessaire. C'est très intéressant de participer aux projets, de voir comment les choses se mettent en place.
Une journée calme finit vers 18 heures. Mais je peux être appelée pour repartir en intervention. On fait près de 60 heures par semaine. Je suis mariée, on a trois enfants, et mon mari est généraliste et médecin pompier volontaire. Le dimanche midi, vous pouvez être attablé en famille et il faut partir. On essaye de ne jamais partir ensemble, sauf grosse catastrophe. Ça nous est déjà arrivé. C'est parfois sport. Un peu comme les médecins dans le temps, qui partaient régulièrement en visite la nuit. Les enfants ont été élevés comme ça, ils sont habitués."
Pour huit heures en position assise, il faut une heure d'activité
Une revue d’études, parue dans une édition spéciale du Lancet , confirme qu'une personne qui reste assise huit heures par jour peut réduire son risque de mortalité prématurée si elle pratique une heure d’activité physique quotidiennement.A l'occasion des prochains Jeux olympiques de Rio, une commission spécialisée du Lancet s’est penchée sur l’état de la planète en matière d'activité physique. Une première étude a fait état du coût colossal de la sédentarité, qui a atteint le stade d’épidémie mondiale. En 2013, elle a pesé 67,5 milliards de dollars sur l’économie internationale, principalement en dépenses de santé mais aussi en perte de productivité.
Une autre étude réalisée par l’Ecole norvégienne des sciences du sport a rassemblé les données relatives à un million de personnes de pays occidentalisés puis a séparé cet ensemble en quatre groupes en fonction de l’activité physique, de 5 minutes ou moins, à 60-75 minutes ou plus. Seuls 25 % des participants ont atteint ce palier.
Il se trouve que les plus actifs tirent un réel bénéfice de leur motivation. Les personnes qui bougent le moins sont 12 à 59 % plus à risque de décès prématuré. En revanche, une heure de marche rapide ou de vélo réduit à néant les effets délétères de la sédentarité professionnelle. Même ceux qui restaient assis 8 heures par jour sont concernés par ce constat. Ils sont ainsi moins exposés aux risques de l’immobilité prolongée que les travailleurs qui restent derrière leur bureau moins longtemps.
Une lyonnaise décède après une liposuccion en Tunisie
Une jeune femme de 29 ans a fait une embolie graisseuse après avoir subi une liposuccion en Tunisie. Sa mère et son beau-père portent plainte.Sans rien dire à ses parents, ni à son petit ami, Marjorie, accompagnée d'une amie, avait réservé son voyage en Tunisie par une agence organisant des séjours de tourisme médical . Les prix des interventions sont bien moins chers qu'en France.
Les deux jeunes femmes n'ont eu qu'une seule consultation médicale, la veille de leur opération. Le lendemain, Marjorie passe au bloc pour plusieurs liposuccions, mais l'opération se passe mal. Pendant ce temps, l'amie de Marjorie entre au bloc. Elle est rassurée par le personnel qui lui assure que son amie va bien. Mais à son réveil, Marjorie est morte.
Le Dr Walid Balti a expliqué au journal Le Progrès que Marjorie est décédée des suites d'une embolie graisseuse. Selon le médecin, l'embolie graisseuse est une complication relativement courante, qui peut survenir dans un cas sur 10.000.
Pour Murielle Bessis, fondatrice-présidente de l’association ARCHE (Association des réussites et des ratages de la chirurgie esthétique), cette complication n'arrive presque jamais lors des liposuccions, et quelque chose s'est forcément mal passé : "Le problème est que les personnes qui désirent se faire opérer ne rencontrent le chirurgien que le jour de l'intervention. Et ensuite, il n'y a pas de suivi, cela fonctionne avec des photos envoyées par Internet. En France on doit rencontrer le chirurgien au moins 15 jours avant son intervention, puis il y a un interrogatoire extrêmement sévère, il ne faut pas oublier qu'une intervention esthétique est une intervention chirurgicale."
EQUIPE
À LA UNE
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Lieux de pratique
URGENCES ET PREMIERS SOINS
TROISIÈME ÂGE
"Je ris, je rime et suis heureux.A défaut d'âme j'ai de l'âme
et du coeur de l'orteil aux yeux.
J'aime les soupers chaleureux
irrigués par des vins de flammes.
Oui, j'ai parfois mal aux cheveux
car les plaisirs sont dangereux,
mais, comme dit gaiement ma femme,
j'ai passé l'âge d'être vieux."
Jean CUTTAT (1916-1993)
(Le baladin du troisième âge, 1993)
Poèmes sur le temps qui passe (Michel ALLARD)
Pensée
" Dans certaines occasions, dire ce qu'on pense est plus qu'un devoir : c'est un plaisir."Oscar Wilde
Les perles de nos patients
Dr P.B.- Pour les médicaments, veuillez préciser sur l'ordonnance, à la main, que je ne veux pas les faux (génériques).
Dr M.P.
- Comment allez-vous ?
- C'est un peu en dent de CYGNE.
Dr F.L.
- Docteur, il me faut mon thermostat 1mg pour dormir !
Dr N.H.S.
- Docteur, j'ai mal aux engins (angines)
Dr G.B.
- Vous avez une sacralisation de L5, Monsieur.
- Impossible, je n'ai jamais foutu les pieds dans une église.